La 10e Course Solidaire de la Miséricorde de Paris a été un véritable succès ! Un grand merci à tous les bénévoles, partenaires et participants qui ont fait de cette journée un moment inoubliable. Votre soutien a été essentiel, et cette année, nous avons enregistré une croissance incroyable par rapport à l’édition précédente !
Un remerciement spécial à notre marraine Rosa Mota, qui a apporté son énergie contagieuse à l’événement, de l’échauffement jusqu’à la ligne d’arrivée, tout en prenant le temps de partager des moments chaleureux avec tout le monde.
Nous sommes très heureux des résultats et avons déjà hâte d’être à la prochaine édition ! Continuons ensemble à soutenir ceux qui en ont le plus besoin.
« Courir pour la Miséricorde » est une idée originale du bienfaiteur Patrick da Eira, homme d’affaires portugais de la région parisienne. Accueillie avec enthousiasme par le Conseil d’administration de la Miséricorde de Paris, cette initiative annuelle commença par avoir lieu le premier dimanche du mois d’octobre, avant d´être déplacée au mois de juin. L’organisation est assurée par Oxibol, agence évènementielle et de chronométrage de courses.
Le but de la course n’est pas de réaliser de « performances », mais que chacun puisse courir à son rythme. Cependant, selon les règles de ce sport, des coupes sont remises aux coureurs des deux sexes arrivé(e)s sur le podium, tandis que tous les autres participants reçoivent une médaille allusive à l’événement.
Deux itinéraires de course à pied sont proposés – 4 ou 8 kilomètres – et un itinéraire pédestre – 4 kilomètres. Le prix d’inscription est fixé à 20 euros, identique pour tous les itinéraires. Les recettes sont canalisées vers le soutien de familles dans le besoin.
Chaque édition est parrainée par un sportif portugais de haut niveau, ayant jusqu’à présent compté avec le soutien et la participation de Fernanda Ribeiro, Pedro Pauleta, Rosa Mota et Rui Barros. Le programme se compose de trois volets (sportif, culturel et loisirs), avec la participation de groupes folkloriques et autres artistes, l’après-midi, et l’ouverture d’espaces de restauration gérés par deux associations locales.